jeudi 8 février 2007
Le temps presse, il faut accentuer les pressions sur le président et le premier ministre. Même si Roland a été obligé de se réalimenter, l’affaire continue. Ça prend deux minutes.
En suivant les deux liens situés en bas de l’article, vous accédez directement au formulaire permettant d’écrire à Sarkozy et Fillon.
1/ Choisissez un objet dans la liste qui vous sera proposée (il est important de varier au fil des envois).
2/ Écrivez le message qui vous semble approprié, inspirez-vous des propositions dans le forum ci-dessous, ou copiez et collez le texte suivant.
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet. Je considère moi aussi que cette sanction injuste cherche à briser un militant syndical dont le seul « tort » est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée. Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF n’est pas un partenaire pour l’école publique. J’accuse son proviseur, Georges de Haro, de faux en écriture. J’accuse William Marrois, recteur d’académie, et François Fillon, alors ministre de l’éducation, d’avoir couvert ces pratiques illégales. Je tiens Gilles de Robien pour personnellement responsable de la situation dramatique et dangereuse dans laquelle se trouve Roland Veuillet, au terme de 58 jours de grève de la faim. Je dénonce les tentatives pour hospitaliser d’office Roland Veuillet en psychiatrie, et pour le faire radier pour abandon de poste. Son cynisme en dit long sur le mépris qu’a Robien de la santé du personnel de son ministère, et de la vie humaine en général. Je veillerai à ce qu’il paie personnellement toutes les conséquences de cet acharnement meurtrier.
3/ Il faut ensuite renseigner son identité, et recommencer aussi souvent qu’on veut !
4/ Recommandez cet article à vos amis en copiant son adresse :
http://roland-veuillet.ouvaton.org/?Ecrire-a-Chirac-et-Villepin-simple
Et en la collant dans un courrier électronique !
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Messages
1. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 10 février 2007, 04:27, par Christine MIRÉTÉ
J’ai écrit,à Mr le Président de la République, ainsi qu’à Mr de Villepin. Et si je ne sais qu’écrire, récolter, diffuser, signer des pétitions, alors je le fais, si ça peut faire réveiller les consciences endormies...voeu pieux ? rêve vain ? peut-être, mais alors nous serons des millions à descendre dans les rues.
Donnons-nous la main, amis, le pouvoir est dans l’union, dans le nombre, dans la paix et le dialogue.
Bises à vous tous.
Christine
1. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 10 février 2007, 10:59, par Bernadette Quentin, emplyée des feux PTT, Evreux
Tiens Christine comme on se retrouve, (Evreux RESF).J’ai fait circuler il y a quelques jours le lien pour le soutien à Roland en courriel privé à des militants RESF et aussi indiqué le cas sur la place de l’agora Agoravox, les petits rus font ou feront les grandes rivières ?
Bernadette
ma lettre à JC et à MDGDV je vais l’envoyer en copie par courriel au comité de soutien.
2. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 11 février 2007, 11:26, par gaston
je trouve qu’il faudrait aussi proposer à tous ceux qui interpellent nos "responsables" un texte moins polémique, plus factuel
par exemple
On peut à la rigueur comprendre que Roland Veuillet, qui, depuis 2003, n’a cessé de contester la sanction par des moyens courageux et non violents, en soit réduit à une grève de la faim qui vient de conduire à l’hospitaliser dans un état grave ;
On comprend moins l’attitude du Ministère.
En janvier 2005 le Conseil Supérieur de la fonction publique a estimé LES FAITS REPROCHES INSUFFISAMMENT ETABLIS (..) et que, par suite, AUCUNE SANCTION NE DOIT ETRE PRONONCEE A SON ENCONTRE."
Logiquement, la sanction aurait du être levée. Elle fut maintenue.
En novembre 2006 les conclusions du Commissaire du Gouvernement en Cour Administrative d’ Appel sont accablantes pour le proviseur Deharo et le recteur Marrois. Extraits :
« Tout ceci nous paraît révéler des attitudes plus que désinvoltes de la part des personnels de direction du lycée Dhuoda et NOUS SOMMES D’AVIS, AU CONTRAIRE, QUE M. VEUILLET A AGI AVEC PROFESSION NALISME ET DEVOUEMENT
(…) , LE RECTEUR S’EST CRU AUTORISE à traduire l’absence de proposition de l’instance disciplinaire par une position (..) favorable au prononcé d’une sanction indéterminée et il a matérialisé l’avis favorable PRETENDUMENT émis en lui adjoignant une motivation DONT IL NE RESULTE NULLEMENT du procès-verbal du conseil de discipline qu’elle soit l’émanation »
En clair, et c’est très grave : le recteur, président de ce Conseil, a TRICHE.
Comment, face à un tel mémoire, rédigé par un magistrat, le ministère de l’ Education Nationale peut-il refuser le réexamen du dossier de Roland Veuillet ? et préférer que ce dernier aille au terme d’une action désespérée plutôt que d’ouvrir une Enquête Administrative demandée depuis 4 ans ?
Il faut RENDRE JUSTICE à Roland VEUILLET AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !
Considération citoyenne et indignée
3. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 11 février 2007, 17:19, par Bernadette Quentin, emplyée des feux PTT, Evreux
Bonjour,
j’ai le courriel annonçant l’hopitalisation de RV, le fait est qu’il est bien seul et en danger, j’avais envoyé hier matin 2 lettres de protest et puis ai lu l’hospitalisation. Que penseront ses enfants de l’indignité de responsables de la République ? Ma lettre d’hier matin a voulu rester modérée en disant simplement les faits, Les faits sont têtus un peu partout et sur tous sujets en France. Que faire de plus ?
Voici copie de la lettre courriel envoyée à JC et MDGDV, respectivement président de la République et 1er ministre.
C’est peu de chose pour tenter d’assurer un soutien à un Homme en danger, M. Veuillet.
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet.
Je considère moi aussi que cette sanction injuste cherche à briser un militant syndical dont le seul "tort" est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée. Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF, pas plus que n’importe quel groupe de pression pour des intérêts privés, n’est un partenaire pour l’école publique.
La neutralité laïque de l’école publique doit s’appliquer dans tous les domaines.
En outre, qu’une administration n’applique pas sa propre loi est un très mauvais exemple, surtout quand l’objectif de l’administration en question est d’organiser l’instruction de futurs citoyens.
Veuillez agréer l’expression de mon attachement à la République et ses valeurs fondamentales.
Bernadette Quentin Evreux
Voici les accusés de réception reçus :
Merci de votre message,
Celui-ci a bien été envoyé à la Présidence de la République. Présidence de la République, Le 10 fevrier 2007
Merci Votre message a bien été transmis au Service des interventions du Cabinet du Premier ministre.
4. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 13 février 2007, 19:47, par Jean-Claude Genin
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la
Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation
de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet. Je considère moi
aussi que cette sanction injuste cherche à briser un militant syndical dont
le seul "tort" est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée.
Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF n’est pas un partenaire pour
l’école publique. J’accuse son proviseur, Georges de Haro, de faux en
écriture. J’accuse William Marrois, recteur d’académie, et François Fillon,
ministre, d’avoir couvert ces pratiques illégales. Je tiens Gilles de Robien
pour personnellement responsable de la situation dramatique et dangereuse
dans laquelle se trouve Roland Veuillet, en grève de la faim depuis le 24
décembre. Son cynisme en dit long sur le mépris qu’il a de la santé du
personnel de son ministère, et de la vie humaine en général. Je veillerai à
ce qu’il paie personnellement toutes les conséquences de cet acharnement
meurtrier.
5. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 14 février 2007, 17:49
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet. Je considère moi aussi que cette sanction injuste cherche à briser un militant syndical dont le seul "tort" est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée. Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF n’est pas un partenaire pour l’école publique. J’accuse son proviseur, Georges de Haro, de faux en écriture. J’accuse William Marrois, recteur d’académie, et François Fillon, ministre, d’avoir couvert ces pratiques illégales. Je tiens Gilles de Robien pour personnellement responsable de la situation dramatique et dangereuse dans laquelle se trouve Roland Veuillet, en grève de la faim depuis le 24 décembre, et hospitalisé depuis le 10 février. Son cynisme en dit long sur le mépris qu’il a de la santé du personnel de son ministère, et de la vie humaine en général. Je veillerai à ce qu’il paie personnellement toutes les conséquences de cet acharnement meurtrier.
6. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 14 février 2007, 22:07, par lapébie
C’est peu de chose pour tenter d’assurer un soutien à un Homme en danger, M. Veuillet.
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet.
Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF, pas plus que n’importe quel groupe de pression pour des intérêts privés, n’est un partenaire pour l’école publique.
La neutralité laïque de l’école publique doit s’appliquer dans tous les domaines.
En outre, qu’une administration n’applique pas sa propre loi est un très mauvais exemple, surtout quand l’objectif de l’administration en question est d’organiser l’instruction de futurs citoyens.
Veuillez agréer l’expression de mon attachement à la République et ses valeurs fondamentales.
JP Lapébie
7. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 18 février 2007, 09:55, par Antoine Dimano
Lettre envoyée au Président de la République via le formulaire ce jour, où je fais appel à son rôle de garant de la Constitution :
« Monsieur le Président de la République,
J’attire votre attention sur le cas de Roland Veuillet dont la situation de santé devient extrêmement critique de part l’obstination du ministre de l’Education Nationale, M. de Robien, à réparer les injustices subies par M. Veuillet. En effet au jour d’aujourd’hui, M. Veuillet en est à son 56e jour de grève de la faim.
Des injustices subies de part une volonté de réprimer les militants syndicaux trop actifs. Où va la démocratie si la Constitution n’est même plus respectée ?
Je cite le préambule de la Constitution de 1946 :
"Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.
"Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix. "
Préambule de 1946 qui fait parti du bloc constitutionnel de la Constitution actuelle qui indique : "Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946".
Ce qu’on reproche à M. Veuillet, c’est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée, et également de s’être opposé à une décision illégale consistant à remplacer des surveillants en grève par des élèves majeurs. Par là, il n’a fait qu’exprimer ses opinions et défendre ses intérêts par l’action syndicale comme le lui autorise donc la Constitution. Malgré cela tout un acharnement s’est abattu sur lui pour le faire taire.
J’en appelle donc à votre rôle de garant de la Constitution et à faire cesser les injustices subies par M. Roland Veuillet. Dans le cas contraire, je ne pourrais que constater, la garantie des droits n’étant plus assurée, qu’il n’y a plus de Constitution en France en vertu de l’article 16 de la Déclaration de 1789.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations les plus sincères et les plus respectueuses,
Antoine Dimano »
8. Ecrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 18 février 2007, 11:05, par Antoine Dimano
Message envoyé à Dominique Galouzeau de Villepin :
« Affaire Roland Veuillet : urgence !
Monsieur Le Premier Ministre,
La situation de santé de Roland Veuillet, en grève de la faim pour faire respecter ses droits syndicaux, empire d’heure en heure, celui-ci en étant à son 57e jour de grève ce dimanche 18 février 2007.
En 2003, lors d’une grève, son proviseur a voulu remplacer les surveillants grévistes par des élèves majeurs. Roland Veuillet s’est opposé à cette décision illégale. Il a été convoqué à un conseil de discipline sur la base d’un dossier fabriqué de toutes pièces (faux témoignages…). Roland a été muté d’office par le recteur, à 300 kilomètres de ses trois enfants. Le procès verbal de ce conseil de discipline a ensuite été falsifié par le recteur, pour rendre plus " présentable " cet acte de répression antisyndicale.
C’est ce qui a conduit M. Roland Veuillet à engager une grève de la faim pour faire respecter ses droits syndicaux et faire cesser les injustices qu’il subit.
M. Gilles de Robien est personnellement responsable de la situation dramatique et dangereuse dans laquelle se trouve Roland Veuillet, étant le seul à pouvoir faire cesser les injustices subies par M. Roland Veuillet.
Je dénonce les tentatives pour hospitaliser d’office Roland Veuillet en psychiatrie (méthode employée par la dictature cubaine, qui est indigne de la France, pays censé être celui des Droits de l’Homme), et pour le faire radier pour abandon de poste.
Le cynisme de M. Gilles de Robien, qui a reçu des délégations, mais s’obstine à ne pas faire cesser les injustices, en dit long sur le mépris qu’il a de la santé du personnel de son ministère, et de la vie humaine en général.
Je vous appelle donc à exiger de M. Gilles de Robien qu’il mette fin aux injustices subies par M. Roland Veuillet, qui est de plus en plus en danger de mort.
Dans le cas contraire, je vous tiendrais responsable également pour ce qui arrivera à M. Roland Veuillet si rien n’est fait.
Je vous prie, M. Le Premier Ministre, de bien répondre à cette demande, et d’agréer mes salutations respectueuses,
Antoine Dimano »
2. Écrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 19 février 2007, 10:53
Veuillez faire lever les sanctions qui pèsent sur Roland Veuillez.
1. Écrire à Chirac et Villepin : simple et urgent, 19 février 2007, 20:48, par Guy GIANI
Je vous demande de faire enfin appliquer l’avis du Conseil Supérieur de la Fonction Publique, qui s’est prononcé, le 25 janvier 2005, pour l’annulation de toute forme de sanction à l’encontre de Roland Veuillet. Je considère moi aussi que cette sanction injuste cherche à briser un militant syndical dont le seul « tort » est d’avoir dénoncé l’intrusion du MEDEF dans son lycée. Comme Roland Veuillet, je pense que le MEDEF n’est pas un partenaire pour l’école publique. J’accuse son proviseur, Georges de Haro, de faux en écriture. J’accuse William Marrois, recteur d’académie, et François Fillon, ministre, d’avoir couvert ces pratiques illégales. Je tiens Gilles de Robien pour personnellement responsable de la situation dramatique et dangereuse dans laquelle se trouve Roland Veuillet, au terme de 58 jours de grève de la faim. Je dénonce les tentatives pour hospitaliser d’office Roland Veuillet en psychiatrie, et pour le faire radier pour abandon de poste. Le cynisme de M De Robien en dit long sur le mépris qu’il a de la santé du personnel de son ministère, et de la vie humaine en général. Je veillerai à ce qu’il paie personnellement toutes les conséquences de cet acharnement meurtrier.