Le 24 décembre 2006, Roland Veuillet décide d’entamer une grève de la faim. Après 53 jours de jeun, il est interné de force à l’hôpital psychiatrique du Vinatier de Lyon. On pourrait parler de cas isolé, seulement voilà, il n’est pas le seul. Aujourd’hui, plus de 14 % des hospitalisations psychiatriques sont des hospitalisations sous contrainte. Véritable privation de libertés pour les uns, seule alternative possible pour les autres, l’internement forcé s’avère souvent la solution de la dernière chance. Alors prévention ou punition ?
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Débat : Internements sous contrainte (40,5 Mo)
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Messages
1. Le Débat : Internements sous contrainte, 4 mars 2007, 22:54, par Candide
Roland Veuillet ne conteste pas assez les psychiatres et le régime totalitaire qui leur donne les pleins pouvoirs,de nuire...
Il s’inscrit curieusement dans "le système", en reconnaissance de ce que le méchant piège préparé pour massacrer les dissidents " en douceloque" ait entrebaîllé une porte pour le faire ressortir.
Le Préfet a eu la trouille et le Ministre aussi... L’éthique "irréprochable" des psychiatres et du personnel du Vinatier, à d’autres !!Roland Veuillet là verse dans l’angélisme...Enfin quand on a échappé à l’enfer,on est peut être excusable ...de devenir con...
J’ai trouvé une sale gueule au Directeur de St Jean de Dieu et au psychiatre, je n’aimerais pas avoir à faire à ces barbus qui n’ont pas l’air finaud ni très équilibré... au discours si convenu, et c’est" ça" qui dispose de la liberté des gens... Pauvre France..
Georges H’ron du GIA dont la femme fut psychiatre essaie de faire du volume mais on ne peut combattre un système qu’on cautionne par ailleurs, quand il a parlé de ses " collègues", c’était révélateur...
Bref débat peu convaincant et qui m’a mis mal à l’aise...